A. Lucas, sur les réseaux de pouvoir

 
Depuis quelque temps, une femme, nommée Anneke Lucas, s'exprime dans des médias alternatifs. Les médias qui lui donnent la parole sont d'ailleurs vivement attaqués par d'autres médias plus conventionnels qui mettent en doute les méthodes journalistiques des intervieweurs. Comme d'habitude, un conflit se joue entre l'information sur internet, vue comme la propagation de fausses nouvelles (« les « fake news » dans le langage convenu), et les journalistes de métier, plus fiables car respectueux d'une méthode et d'une déontologie. A priori, on peut évidemment reconnaître l'existence d'abus sur internet ; la prudence doit toujours être de mise quant à l'absorption des informations délivrées.
Il est vrai également que toute information devrait être vérifiée, par des enquêtes journalistiques. On sait que c'est de moins en moins le cas chez les journalistes officiels également, le terme « journaliste » tendant à être vidé de son sens. Par ailleurs, il est évident que certains sujets sont hautement dangereux...


Dans nos sociétés, si le pouvoir était exercé de manière occulte, il est certain que les journalistes conventionnels seraient sous sa direction, et ne révèleraient au public que les informations que ce pouvoir jugerait suffisantes et nécessaires pour exercer son emprise sur la population ...
Pour conclure ce sujet : toute information nécessite de notre part un esprit critique, de ne pas croire aveuglément ce qui est dit, sans faire de recherches personnelles pour connaître la vérité (essayer de connaître la vérité.)
Par ailleurs, cette attitude critique devrait concerner toute information, même celle qui émane des organes officiels d'information (organes détenus par des personnes de pouvoir).
Le comportement usuel des journalistes conventionnels, leur neutralité, leur lutte pour la liberté d'expression et pour la transmission de la vérité, ce que nous percevons de leur indépendance, de leur courage et de leur éthique, doivent nous aider à nous forger une opinion à leur sujet … 


Pour l'auteur de ces lignes, l'opinion est forgée à ce sujet. C'est la raison pour laquelle on peut considérer que le témoignage d'A. Lucas vaut autant qu'un autre. Certes, il s'agit d'une révélation frappante et tapageuse. Toutefois, elle est délivrée par une personne intelligente qui semble sincère et marquée par son expérience.

Cette femme, née en 1963 en Belgique, dit qu'elle a été placée dans un réseau de l'âge de 6 à 11 ans. Elle a ensuite réussi à s'en extraire, mais son destin était d'y rester.


Selon son témoignage, ce réseau alimente les groupes de personnes ayant une position hiérarchique dans la société, à des postes d'influence, dans la politique, dans le milieu des artistes, dans la magistrature, etc. D'après ses dires, A. Lucas a subi un traitement de conditionnement mental et également des sévices sexuels de la part de personnes qui l'ont prise en charge, et de la part de personnes de pouvoir bien connues du public et médiatisées. (Les mots habituellement employés pour nommer ces crimes ne le seront pas, pour des raisons de discrétion. Dans l'ensemble de cet article, des périphrases seront employées. Au lecteur de bien comprendre le propos et de poser les mots qui conviennent.)
A. Lucas explique qu'elle devait, au terme de sa « formation » basée sur le traumatisme, devenir une chanteuse "star" en France. Elle explique que ce conditionnement, en général, vise à créer des agents qui sont contrôlés et qui exécutent des missions en direction du public, et des missions à l'intérieur du réseau, pour manipuler et exercer une emprise.
Il s'agirait en fait d'un réseau de pouvoir pyramidal basé sur l'emprise. Cela n'apparaît pas improbable, du point de vue d'un individu moyen, puisque nous constatons dans notre société actuelle -si nous avons conservé une sensibilité- que nous sommes tous plus ou moins sous l'emprise des médias, des écrans, de la technologie, de la publicité, du consumérisme et de la propagande. L'emprise est visible, et évidente à notre niveau -il faut noter que cette manipulation est aussi un choix que nous avons fait de l'accepter, collectivement.
A. Lucas dit qu'en tant que célébrité, elle devait avoir la personnalité d'une femme un peu immature, pour encourager les relations entre femmes plus âgées et jeunes hommes ou garçons. La situation que nous avons sous nos yeux, dans notre société, corrobore ces dires, puisque nous constatons la sexualisation grandissante des enfants, la promotion de la sexualité (démocratisation de la pornographie, sexualité présentée comme une cause politique, éducation sexuelle en conformité avec des « droits sexuels » des enfants décrétés par l'ONU, etc.) La question que pourraient se poser les gens est : s'agit-il de mouvements nés sous une impulsion sociale spontanée, ou ces mouvements peuvent-ils avoir été programmés, organisés, financés, mis en place intentionnellement, en fonction de projets politiques et sociétaux ? ...
Par ailleurs, comment ne pas penser à certaines personnes, en particulier en politique, qui ont manifestement une mission précise à remplir, qui ont une personnalité immature, font usage de stupéfiants, tout en ayant des comportements et des expressions du visage laissant paraître la possibilité d'un conditionnement mental : manque d'empathie, discours creux, déclarations contradictoires pour exercer des manipulations de masse ? (devinette)
Autre exemple; comment ne pas penser, dans le spectacle, à des artistes populaires, qui sont restées longtemps énigmatiques, et qui déclarent ne pas se souvenir de leur enfance? Elles proposent des concerts époustouflants à leurs « fans » médusés devant ce qui s'apparente, si l'on a conservé un œil clair, à une promotion, par le biais du show, de la fusion de l'homme et de la technologie (le transhumanisme), de la sexualité, ou d'une normalisation du culte rendu à des entités maléfiques (décors rouge sang et noirs, croix renversées, etc.) ? (second rébus, mais des réponses multiples sont possibles.)



Le thème d'A. Lucas, sans les maisons astrologiques, puisque seule sa date de naissance a été divulguée, présente un Soleil en Bélier. Cette position dans ce signe autonome, dans lequel le Soleil est exalté, a sans doute contribué à une sorte d'autodétermination qui l'a sauvée. La native souligne en effet le fait que chacun dispose d'un libre-arbitre. Elle explique qu'elle a fait certains choix lorsqu'elle était dans ce réseau qui lui ont permis d'en sortir progressivement.
Dans son thème, on voit bien les indices de relations d'abus psychologique et sexuel, avec l'opposition Vénus-Pluton, dans les signes des Poissons et de la Vierge. Sur cet axe, il est question d'une situation de victime (Poissons); Vénus est en conjonction de Chiron, la blessure  ; la Vierge évoque la virginité et la pureté de l'enfance, corrompues (ce que symbolisent Pluton et Uranus dans ce signe).
A. Lucas, explique qu'une fois le libre arbitre exercé, une fois qu'elle a refusé le mensonge, et que son exigence de vérité, de lumière, a été claire pour elle, alors la Providence a mis sur son chemin des personnes qui ont permis de la sauver. Elle se considère comme une survivante. On voit en effet Neptune en Scorpion, en sextile de Pluton et en trigone de Vénus, sur son thème, qui représente cette Providence qui lui a permis de se libérer d'une emprise toxique. Son thème corrobore assez clairement ses dires .

Le trigone Neptune-Chiron insiste sur une guérison de nature spirituelle.
Par ailleurs, les Noeuds lunaires sur l'axe Capricorne-Cancer mettent l'accent sur une évolution à accomplir concernant ses rapports parentaux, ses parents, notamment sa mère, selon son témoignage, l'ayant « donnée » sans sourciller à ce réseau.



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