De
l'automne 2024 à l'été 2025, un carré Jupiter-Neptune se forme.
Astralement parlant, les conditions sont réunies pour revivre
une pandémie. D'autres données factuelles confirment cette
possibilité. La probabilité d'une nouvelle crise sanitaire
est donc particulièrement forte.
On
peut envisager, non seulement une pandémie pour l'automne 2024, mais aussi, sans grand
risque de se tromper, le retour du « pass vaccinal » pour
avoir le droit d'accéder à certains lieux. En effet, le virus et la
« protection » érigée autour du citoyen tant aimé de
ses dirigeants forment un tout. Les problématiques politiques
et psychologiques associées à cette crise sanitaire seront
réactualisées.
Actuellement, les médias
commencent à évoquer quelques cas de COVID, l'un parmi les athlètes
des J.O., justement :
« Le
vice champion de 100m brasse, Adam Peaty, testé positif au COVID »
(source : l'équipe.fr)
On
le voit, le virus s'étend comme une marée … Le milieu du sport
est touché décidément : « L'AS Nancy Lorainne touchée
par une épidémie de COVID ! » (source : l'Est
républicain)
Comment
ne pas s'inquiéter ? « Touche pas à mon poste »
sur Facebook affiche : « Pandémie : Selon
Jean-François Delfraissy, un virus pire que le covid pourrait
arriver. »
Ce
sont là quelques exemples parmi tant d'autres.
Une
nouvelle simulation
Par
ailleurs, tout est en place : sur internet, l'information a filtré qu'une nouvelle
simulation de pandémie a été organisée en haut lieu, avec la
participation de la Fondation de Bill Gates et consorts. L'événement
s'est produit en octobre 2023, exactement comme la « simulation »
qui a précédé l'arrivée du COVID, en 2019.
Un
pass européen
De
plus, le pass sanitaire a été perfectionné : en effet, il va
être instauré maintenant au niveau européen, et fera son
apparition, justement, à la rentrée. On perçoit aussi l'ombre du
carnet de vaccination, couplé à toutes les informations sur chaque
individu, conditionnant ses droits de « citoyen ».
De nombreux éléments convergent pour laisser penser qu'un nouvel épisode d'épidémie et d'intense pression psychologique sur la population va avoir lieu (plus intense que le précédent, a priori).
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