Le massacre des troupeaux

 
En France, on massacre dans l'indifférence générale des troupeaux sains, sous le prétexte d'une épidémie de dermatose nodulaire, une maladie qui ne provoque que peu de morts (chez les bovins) et qui ne se transmet pas à l'homme. On abat (de façon choquante) des troupeaux entiers, si une seule vache est atteinte de cette maladie, une « politique » que l'on n'avait jamais vue jusqu'à présent.
La semaine dernière, des abattages de masse ont été perpétrés dans le Doubs et en Ariège, conformément à une politique sanitaire supposée, sous l'autorité du Ministère de l'agriculture du gouvernement Macron. Une mobilisation rurale se développe pour contester ces procédés criminels. Le mouvement d'agriculteurs s'amplifie contre les abattages massifs de bêtes ; en effet, les agriculteurs des autres régions se mobilisent de plus en plus, voyant qu'ils n'échapperont pas au grand mouvement de massacre des bêtes et même de l'élevage, et de l'agriculture dans la France entière.
Les observateurs informés depuis des dizaines d'années du changement de société prévu de longue date savent qu'il s'agit simplement d'une destruction de l'élevage et de l'agriculture, au nom du projet mondialiste. 



En effet, une nouvelle société globalisée se prépare, et elle réduira en esclavage mental les hommes à la surface de la Terre. Il n'y a pas que l'agriculture qui est détruite. Toutes les structures de la France sont visées et massacrées depuis plusieurs années. C'est une vision d'ensemble qu'il faut avoir. Par exemple, la désindustrialisation de la France a commencé dans les années 1970. Si l'on a pas été sensible à ce premier mouvement de destruction, on n'est pas crédible aujourd'hui. Si l'on a voté pour l'U.-E. sans réfléchir, on n'est pas crédible aujourd'hui. Et si l'on a voté Macron, le destructeur final de la France, on n'est pas crédible non plus.


Les vaches sont … « euthanasiées » en raison d'une malencontreuse « pandémie » bovine. 
Les médias au service du pouvoir se chargent d'expliquer pourquoi « aujourd'hui, il n'existe pas d'alternative. » (source : France Info) Des vaccins sont prévus aussi … (Je vois dans ma boule de cristal que ces injections sont à base d'ARN messager, une panacée universelle).


Astrologiquement, le massacre organisé du cheptel français est à rattacher à la dernière rétrogradation d'Uranus dans le signe du Taureau. Le Taureau est à prendre au sens propre ; il symbolise les troupeaux de vaches, et il représente le monde rural ; Uranus évoque la révolte et la révolution -dans un article publié en 2017, avant l'entrée d'Uranus en Taureau, je parlais déjà des révoltes paysannes …
Evidemment, l'élite malfaisante au service du projet global (le NOM*) mène aussi sa propre révolution, en secret, en se désolidarisant des peuples contre lesquels elle est en guerre, en fait. 

En France, elle mène cette guerre au détriment des structures en place et au détriment de la population. L'économie, la stabilité politique, la paix, la prospérité, la morale, la culture, elle est en train de TOUT détruire.


L'astre lent Uranus se situe entre deux transits actuellement ; il est en entré en Gémeaux en juillet 2025 puis a rétrogradé, retournant une dernière fois de novembre 2025 à avril 2026, dans le signe du Taureau. La fin de ce transit correspond à la mise à mort des troupeaux,  et à la réaction des agriculteurs.


Le tournant visé par l'élite malfaisante est celui du libre-échange global, du Mercosur entre autres, qui doit être ratifié prochainement, afin que les bêtes et les denrées sillonnent la Terre en tous sens à l'avenir -de même que les hommes à la recherche du travail pour survivre- dans une sorte de commerce non plus triangulaire, mais multi-angulaire.
Ce libre-échangisme est symbolisé par l'entrée d'Uranus en Gémeaux, signe des échanges.
Evidemment, les mondialistes aux manettes produisent des incohérences de taille. Ces contradictions peuvent interpeller : par exemple, comment justifier la destruction de l'agriculture à taille humaine, locale, à circuits courts, pour mettre en place le libre-échange global, fauteur de pollution et facteur de désastre climatique ? (En effet, le réchauffement climatique est normalement une priorité, et c'est aussi une « grande peur structurante » utilisée par la nébuleuse mondialiste. Elle sert de levier pour mettre en place les structures du NOM. Cette préoccupation est donc à géométrie variable et les écologistes de dernière génération n'y voient que du feu -puisque les médias ne leur en parlent pas.
  En outre, les personnes saines de corps et d'esprit savent qu'il est préférable de consommer des produits locaux, pour l'économie, pour la solidarité sociale, pour la santé humaine, et pour la préservation de la culture française (voire les produits du « terroir »).


Enfin, les denrées en provenance d'autres parties du monde ne respectent pas les normes européennes, plus exigeantes : pesticides et OGM seront les nouvelles normes. (source : vert.éco)
Pour s'opposer à cette évolution mortifère, il y a la révolte des agriculteurs. Il existe aussi une autre solution, qui a toujours été valable : s'informer sur l'origine des produits que l'on consomme et acheter local, acheter français, acheter bio (etc.), par exemple, bannir les aliments transformés industriels et toute la malbouffe. Cesser de s'inventer des prétextes, et enfin donner la priorité à la santé et à la qualité, tout en supprimant la consommation d'objets inutiles **. 

Ce comportement peut ANEANTIR le libre-échange et même le NOM. Cesser d'obéir à des conditionnements psychologiques, pour s'individualiser est une autre façon de vivre Uranus en Gémeaux. On peut dépasser les comportements habituels, automatiques, en adoptant une autre façon de vivre, d'autres modes de consommation, pour soi et pour le bien de tous.

Les troupeaux se font massacrer mais les individus peuvent échapper à la guerre sans merci qui est menée contre les masses manipulables car soumises à leurs habitudes.


*NOM : le Nouvel Ordre Mondial, une dictature globale avec un gouvernement unique.

**=> Ainsi, la malbouffe ne trouverait pas preneur. Ses filières s'effondreraient, au profit d'une nourriture saine.




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